" La sortie mélancolique "

Pour ma transformation, j'avais besoin de beaucoup d'énergie, je fermai donc mes yeux, j'ignorait donc mes deux adversaires en face de moi. Cela ne dura que quelques secondes, une minute au maximum, mais j'eus le temps de sentir quelque chose de froid pénétrer dans mon ventre et autre chose m'entailler profondément au visage, mais je ne pourrai le dire où.
Durant ce court laps de temps, quelque chose d'incroyable se passa. Je vis ma vie comme elle aurait dut être si j'étais resté dans ma famille, au clan de l'air. Et je vis très vite que je serai mort durant la guerre, tué un guerrier du clan du feu. Et cela me serait à l'âge d'a peine 30 ans. Courte vie... Mais je me suis fait bannir, donc cette vie ne m'a jamais appartenue.
Ensuite je sentis un nouveau souffle de vie entrer en moi, comme si je renaissai. Un choix s'offrait donc à moi maintenant. Soit j'arretai ma transformation et je mourrai dans une embuscade (je dis bien embuscade, car par le passé c'est moi qui dirigeai les exécutions, donc je sais comment cela se passait.), soit je continuai ma transformation et je serait un traître jusqu'à la fin de ma vie. Ma décision avait déjà été prise depuis longtemps à vrai dire.

Ma vie atteindrai l'âge d'un millénaire demain, et comme "cadeau", je retrouverai mon corps d'antan, celui d'un ange. Mais à quel prix? Celui d'être un traitre, un de ceux qui doivent constamment craindre que la mort ne vienne nous prendre la vie.

Sa y est, je me sens vivant, libre. Je suis moi. Gwindor Faerlir. Le fils des deux meilleurs guerriers d'élite de l'air. J'ignore si ils sont encore en vie, cela m'est égale à vrai dire, mais je sais où se trouve ma place maintenant. Avec les rénégats.

J'ouvre les yeux, et je vois mes deux adversaires terrifés devant ce spectacle. Leur ancien conseiller vient de se tranformer en Ange, de quoi avoir peur ! Car maintenant en plus toutes mes blessures ont disparu. Pourquoi? car en me transformant en Ange j'ai retrouvé mon corps au moment où je l'avais perdu, c'est à dire en bonne santé. Mais si je me retransformerai en Drow, je serai probablement blessé à mort. Mais par contre je garde toutes les marques de mon existence, les souvenirs. Même certaines marques physiques restent.
[c'est partit pour la description xD, maintenant je le fais de mémoire, car je ne suis pas sur mon ordi, donc j'ai pas l'avatar sous les yeux.]
Mon visage est totalement différent du Drow, il est plus bronzé et je souris plus facilement, mes cheveux sont blonds-bruns, ils descendent jusqu'au début de la gorge, ces habits sont de couleur bleue et dorée, je porte des brassards à mes deux bras, un doré et un bleu. Sur mon dos il y a mes deux ailes, mais elles ont un problème... Je vous l'expliquerai plus tard. Entre celles-ci se trouve un fourreau, celui de Gwindor. Mon arme... Elle aussi a changé, elle est devenue plus clair, plus pur. Comme si je l'avais purifiée en me transformant. Je remarquais aussi qu'elle était bien plus belle comme sa. Mes yeux étaient bleus.
Mes ailes ont un problème ai-je dit? Oui, ce problème est assez genant, mais c'est le prix à payer. Elles sont d'un noir très sombre, à cause de toutes les personnes que j'ai tué durant ma triste et longue existance.
Je me permit enfin de regarder les deux hommes. Comme je l'avait dit ils étaient terrifés, mais plus pour longtemps, car quelques secondes après que je les ai regardé, ils se sont enflammés. Mais c'était tout de même assez effrayant pour moi même, car mon feu avait changé de couleur, il était devenu blanc. Je ne comprenais rien à ce qui se passait, d'abord mes ailes, ensuite mes flammes. Ce sera quoi ensuite?
Après avoir enflammé mes ennemis, je pris mon otage et je m'envolais. Cette sensation était superbe, la sensation du vent qui me fouete le visage, j'eu envie de crier. Mais je devais rester le plus silencieux possible.
Durant mon vol j'ai beaucoup réflechis, je me suis dit qu'il valait mieux que personne ne me voie en "réel" (en ange). Car en étant un ange, je suis une tout autre personne (excepté la voix qui est la même), et dans certaines situation cela pourrait m'aider, voir me sauver la vie. Je décidai donc qu'en arrivant à la taverne, je déposerai l'otage (assomé) devant la porte et j'irai me réfugier dans une des chambres pour reprendre ma forme de Drow, et ainsi espérer guérir. [explication pour ceux qui n'auraient pas compris: je dépose l'otage devant la porte, je frappe trois coups sur la porte et je m'envole dans une chambre (par l'extérieur) et je me couche sur le lit et je me transforme, le tout discrétement.]
J'arrive enfin devant la taverne. Je n'entends que deux personnes à l'intérieur, j'imagine que c'est Cloud et Alywair, je n'entends pas la voix de Bersock, c'est bon signe, il doit toujours faire dodo. Tout était donc comme lorsque j'étais partis, enfin je croyais.
C'est en déposant le gosse devant la porte que je vis l'autre type. Je n'avais donc pas le choix, j'entrais. Je regardais qui il y avait réellement à l'intérieur. Il y avait Alywair et ce type. Ils se regardaient, je ne comprenais pas vraiment. Puis je compris d'après leur regard qu'ils devaient se connaitre. Je vis aussi que le type ne semblait pas bien méchant, je ne devais donc ne pas craindre une autre menace. Du moins pour le moment. Je devais donc m'en sortir en esperant que personne ne découvrirais la vérité.

-Escusez-moi de vous déranger Mademoiselle, mais auriez-vous une chambre de libre? J'ai fait une longue route... Et aussi, il y avait ce gamin devant la porte, le connaissez-vous?

Dis-je en poussant le gamin devant moi.

[p.s: mon nom est toujours braezol pour le moment, pour les 2 formes (ange et drow)¨]

-Oui, c'est moi. Désoler de ne pas t'accueillir comme tu le devrai...

Kierlis s'en doutait un peu, mais d'en avoir la confirmation, c'était autre chose. Fille du Mage, Alywair Motharia, qui a dû quitter son royaume pour cause de traitrise. C'était à peine tout ce qu'il savait sur elle.

-Hum, répondit-il simplement.

N'importe quel personne de sang royal aurait été répugné à l'idée de parler à une bannis, mais Kierlis ne s'en préoccupait pas; de toute facon, en temps normal, s'il ne se serait pas fait adopté par le Roi et la Reine, son sang n'aurait aucun lien avec la royauté. Kei n'avait jamais demandé à être Prince, il s'en foutait un peu. Peut-être était-il insouciant, mais il savait que si quelqu'un du Clan de l'Air s'aventurait dans cet endroit et le dénoncierait aux Rois ou à la Reine, Kei pouvait faire ses prières. Quoiqu'il ne croit pas vraiment aux Dieux, mais cela est une autre histoire. L'otage venait de parler, ce qui fit sortir Kei de ses pensées. Les mots du prisonniers le troublèrent quelque peu.

- M'ammener à ma perte?

Il fronça les sourcils, mais n'en demanda pas plus. Il n'avait aucune idée de ce que l'otage voulait dire, mais l'idée que quelqu'un d'autre que lui-même le conduise à sa perte lui semblait absurbe et il réprima un petit rire en même temps de s'éloigner un peu d'Alywair pour s'accoter contre le mur de la Taverne, les bras croisés.

L'autre homme venait d'annoncer qu'il quittait la pièce; Alywair tenta de le retenir en vain, et avant que Kei puisse ajouter quoi que ce soit concernant le commentaire d'Alywair comme quoi elle aurait 'changer', un autre homme fit irruption dans la pièce. Il était charismatique, fallait l'avouer. Kei se désinterressa de la scène quelques secondes, jusqu'à ce qu'il entende le nom 'Braezol'. Kierlis se raidit à la mention d'un nom familier, mais ne tourna pas la tête et ne laissa rien paraître. N'était-il donc pas le conseiller du Roi ou quelque chose dans ce genre? Qu'est-il arrivé pour qu'il change autant? Et que faisait-il ici? Bien que Kei n'était pas bien placé pour poser la dernière question, les deux premières l'embêtait.

Lorsqu'il daigna tourner les yeux, Alywair qui semblait soulagée venait de lui sauter dans les bras.

- C'est la journée des retrouvailles parait-il.

- Braezol?? C'est toi?

Et voila, deux personnes qui connaissaient ma véritable apparence, sa ne me plaisais guère, mais lorsqu'elle me sauta dans les bras, je ne savais plus que faire. Je n'en avais pas l'habitude, durant plusieurs siècles, je n'ai connu que la violence et la haine. Et pour la première fois depuis mon bannissement du clan de l'air, quelqu'un avait un geste affectueux pour moi. Je la serrai un peu dans mes bras puis je me dégageai gentiment.

- C'est la journée des retrouvailles parait-il.

-Oui, c'est bien moi... C'est une longue histoire en fait, mais vu que je sais que je peut te faire confiance, je vais te la raconter, ainsi qu'à toi.

Je m'assis sur un tabouret et je me mis à raconter à Alywair et Kierlis ce qu'il s'était passé au clan du feu. [à savoir au cas où vous n'auriez pas eu le courage (la volonté ou rien compris) de lire mes deux messages rp...: Je suis partit au clan du feu, j'ai brulé la maison de Bersock, empocher son gosse de dix ans, ensuite je me suis fais attaqué par des types du clan du feu, au moment où j'allais mourir je me transformais en ange (mon apparence d'origine) et cela me rendis mes forces. donc j'ai réussi à m'en débarasser et me voila.]

-J'ai aussi appris que on souhaitais ma mort. Sa me fait enrager en y pensant, dire que chaque jour je voyais le seigneur de feu avec son pendentif de malheur... enfin le pendentif de la liberté, la pierre de Manrir.

Je préférerai rester Drow un certain temps, certes plus de personnes sauraient qui je suis, mais ainsi durant des situations critiques, je pourrai me transformer en Ange et ainsi partir sans que personne ne sache que je m'appelle Braezol.

C'est pour sa que j'aurai besoin d'une de tes chambres, j'ai besoin de me rétablir de mes blessures reçue durant mon combat, car je ne pense pas qu'en tant que drow je puisse tenir debout, donc il me faudra beaucoup de repos...

Je regardai gravement Kierlis

-Quand à toi, ne parle à personne de ce que je viens de te dire, car sinon je te retrouverai, et tu sauras pourquoi je suis si connus à travers le monde...

[p.s: je suis pas la ce soir (=l'après midi chez les québécois^^)]

Kierlis fut d'abord surpris que Braezol le reconnaisse, jusqu'à ce qu'il se rappelle qu'il est le Prince du clan du feu. Il soupira; il ne s'habituait définitivement pas à ce titre. Reportant son attention sur cet 'individu', qui venait de s'assoir sur un tabouret, il écouta attentivement l'histoire étonnante, mais tout à fait plausible. Il ne bougea toutefois pas de sa place, être accoté contre le mur lui suffisait. Il hocha la tête quelques fois durant le récit, comme pour prouver qu'il était toujours là. Pourtant, malgré tout, un élément en particulier attira son attention.

-La pierre de Manrir?

Il fronça les sourcils. Il avait entendu ce nom quelques fois auparavant, mais il n'a jamais pu savoir qu'est ce que c'était exactement. Lorsque l'homme (qui n'en étais pas vraiment un, tout compte fait) posa un regard dur sur lui, il ne broncha pas et répondit simplement;

- Bien sûr que je ne dirais rien.

Il ne voit pas qu'est ce que cela pourrait lui rapporter de toute façon.

(Dsl pour le court post, j'ai pleins de devoirs ces temps-ci <.<)

Pendant qu'on entrait dans la chambre, quelque chose d'étrange se produisit. On entendait l'horloge de la taverne sonné les 12 coups de minuit. Cela me faisait sourire.

*Et voila, j'ai 1000 ans...*

Tout d'un coup je m'arretai. J'étais encore debout, la pièce n'était pas très grande, il y avait un lit, une commode, et tout ce qu'il faut pour une jolie chambre d'auberge.
Il se passait quelque chose d'étrange, je sentis mes blessures s'ouvrir, ma vision se troublait. Puis je m'effondrai. La dernière chose que je vis, ce fut moi... Braezol-Drow était couché à coté de moi, il semblait tout aussi étonné et mal en point que moi, mais je vis que son regard était bien celui d'un Drow, un tueur... celui qui j'ai été durant longtemps. Au début je ne croyais pas en ce que je voyais, pourtant je sentais bien mes douleurs, elles étaient réels, et en plus, je vis le Drow qui souriait. Puis il me dit par télépathie.

*-Tu ne te souviens donc pas du pacte que tu as passé durant cette froide nuit? dans la foret, la veille de la bataille à la tour de Manrir?

-De quoi tu parles, et qui es-tu?

-Hahaha... Mais je suis toi, et tu es moi... Sauf que moi je suis dispensé de sentiments, tout ce que je souhaite c'est le pouvoir... Pour résumé, tu as gardé le bon qu'il y avait en toi, et moi j'ai tout le vice, la vie n'est-elle pas bien fait?...

-Je rêve hein?

-Non, ce n'est pas un rêve, je vais tout te raconter, frère:
[i]
Il y a bien longtemps, la veille de la bataille de la tour de Manrir, un Ange du nom de Gwindor s'entrainais dans la foret, puis un homme vint à lui. Il était désespéré, son regard était vide, vide de toute vie, il était comme mort. Alors, l'Ange eut pitié. Il proposa au Drow (c'en était un) un accord. L'ange était capable d'utilisé un sort qui permettait à 2 corps de fusionner. Le drow accepta, mais ce qu'il ne savait pas, c'est que ce serait l'ange qui controlerai le corps, le Drow se contenterai d'obéir au doigt et à l'oeil à la volonté du maître. C'est donc ainsi que tu pouvais te transformer en Drow. Moi pendant ce temps, j'étais emprisonnée dans une salle noir, je ne pouvais y sortir, mais grâce à toi, j'ai repris vie, et moi voila. Tout le vice qui était en toi était de moi.
Je tiens à te dire qu'il est normal que tu ne te souviennes plus de moi, durant la fusion, l'ange a perdu la mémoire, il croyait qu'il s'était entrainé toute la journée, alors que en fait il avait fait un pacte avec un drow.
Mais, le pacte disait que lorsque l'ange aurait atteint mille ans, la fusion s'annulerait, les corps se sépareraient. Voila, tu connais toute l'histoire.

-Ce... Ce n'est pas possible...

-Si, et c'est grâce à toi si je suis la maintenant... Ah, oui encore une chose. Chaque soir à minuit, durant cinq minutes, nos esprits seront...*

Plus rien, le Drow était encore couché devant moi, souriant faiblement. Je remarquai en levant les yeux que mon épée s'était aussi multiplié par deux. Le drow suivit mon regard et les vit aussi. Cette fois il rit faiblement. Puis il s'évanouit en même temps que moi, l'ange Gwindor.

[pour résumer, il y a devant Alywair un ange et un drow, qui ne sont autre que Braezol sous ses 2 apparences, et c'est pour sa que j'ai crée un autre compte, j'avais fait la demande à Leona.]

-Deviens ma femme, tu n'as pas le droit de refuser, si tu refuses, je m'arrangerai pour que tu soies la cible principale à abattre numéro 1 du clan du feu, ainsi que tes amis...

En entendant sa, je me forçai à me réveiller, ce sadique allait trop loin. J'ouvris les yeux avec énormément de difficulté et je regardais Alywair avec tendresse.

-Ne l'écoute pas... Il en est incapable, maintenant que le clan l'a bannis... Et...Je te protégerai...

A ce moment je sombrais dans l'inconscience, espérant qu'elle ne prenait pas ses paroles au sérieux. L'autre jura et se redresse tant bien que mal.

-Saleté... Si seulement je pouvais t'égorgé, mais malheureusement je n'en ai pas la force, mais attends que je guérisse... Et la, tu auras beau fuir, tu ne pourras pas échapper à ton destin... Quand à toi
Dit-il en se tournant vers Alywair.
Je t'ai avertie, et contrairement à ce qu'a dit cet imbécile, je suis capable de faire ce que j'ai dit, j'ai même l'intention d'aller tuer ce seigneur du feu... et si sa rate, je saurai lui faire abandonner toute poursuite face à moi. Et sinon merci, tes soins ne m'ont servis à rien, car je guéris très vite, avant c'était un de mes plus grandes qualités, je guéris seul et bien, tu n'est pas obligée de continuer à me dorloter, à moins que tu ne veuilles accélerer ma guérison.

[ps: je ne ferai pas toujours parler Braezol avec ce compte, mais vu que c'est mon 2e perso, je me permet de le faire. désolé sa n'arrivera plus lorsqu'ils seront à différents endroits.]

Après avoir replongé dans le sommeil, j'entendis une voix dans ma tête, elle était douce, calme et reposante...

-Braezol Harentios ne doit pas mourir, car si il meurt tu mourrai avec lui, vous êtes reliés par un pacte que personne ne peut délier, la seule fin à cet acte est la mort...

-Pardon ? Vous voulez dire que si Braezol meurt, je mourrai avec lui ?

-Oui, de plus, si Braezol se blesse, tu reçois la même blessure le même soir à minuit...

Je ris un cours instant, effrayé par ce qu'elle venait de me dire...

-Qui êtes-vous pour dire cela ?

- ... Tu ne peux le savoir, sache seulement que Braezol a subit le même discours, il est lui aussi au courant. De plus, à ton réveil, toutes tes blessures seront soignées. Je vais te faire une faveur, à toi et à ton "double", mais sache que ceci ne se passera plus jamais, alors fait bien attention...

Elle avait dit la dernière phrase avec une immense tendresse, même le dernier mot... Puis, tout ceci disparu aussi vite que c'était apparut, je revenais lentement à la réalité et j'entendis plusieurs personnes menacé Braezol. Je me redressais vivement. Je compris donc qu'elle avait soigné mes blessures.

-NON, ne le touchez pas !!!

Je n'avais pas bougé, je restais là, sur ce bureau de bois. Je riais intérieurement à ce que Kierlis avait dit à Braezol. Cependant, je restais toujours là même quand les choses commençèrent à se corser. Braezol n'avait pas l'air très heureux et Alywair semblait sur le point de s'évanouir. Lorsqu'un autre homme cria de ne pas toucher au conseiller royal, Aly le frappa dans l'endroit qui fait mal. Ensuite, elle se releva et s'effondra à mes pieds. Au même moment, je me penchais et je l'enveloppais de ma cape noire. Je sortis ma rapière et de mon autre main, je menaçais Braezol d'une boule de feu. Je dis d'une voix un peu trop retentissante à mon goût:

-Bon, là vous allez arrêter! Est-ce une façon de traiter une dame? Comme l'a si bien dit le prince Kierlis, vous êtes rendu bien bas...Agresser une femme pour la marier...Pathétique!

En disant cela, j'éclatais d'un bon rire. Braezol ne se trouvait pas dans une position avantageuse. Il avait moi et Kierlis qui protégions Alywair.

HRP:Poste médiocre, désolé...

Plutôt étonné de la tournure des évènements, je restais là, sans bouger. Braezol Harentios quitta la pièce. Puis, Alywair s'accrocha à ma jambe. Je ne bougeais trop surpris. Elle me dit seulement merci. Elle semblait en état de choc et je la comprenais. Ensuite, Gwindor dit quelque chose, mais je n'écoutais qu'à moitié. Il regrettait de ne pas avoir tué l'autre homme. Je répondis à l'homme un peu avec une pointe de reproche:

-Franchement...pourquoi ne l'as-tu pas tué? Tu en avais la chance! Regarde Alywair! Regarde comment elle est bouleversée! Tout ça, à cause de cet homme que tu viens de laisser partir!

Je restais là, un peu abasourdi par mes propres paroles.

HRP:poste pourri, nul, moche...